Comme on peut le constater au début du chapitre 1, le héros détient un élevage de moutons de type blancs.
Ces moutons sont comme d'autres moutons, il font de la laine et crient.
On ne connaît pas vraiment l'histoire de cet élevage, peut-être n'appartient il pas au héros mais à ses parents ? On ne saurait pas vraiment répondre, car on ne connaît pas la profession des parents du héros.
On compte au total 11 moutons, mais peut-être que d'autres on vécu dans l'élevage dans le passé
L'élevage se place sur un magnifique paysage côtier, typique de la région. Les moutons profitent d'un pâturage riche en nutriments, et d'une alimentation saine et équilibrée.
On peut trouver à l'arrière plan la fameuse montagne en forme de baleine, qui porte son nom car il s'agit d'une montage et également parce qu'elle ressemble à une baleine.
Bien que les moutons se ressemblent, on peut facilement identifier différents groupes ou “familles” de moutons dans l'élevage.
La première famille, dite “West Coast Duo” (W.C.D), est visible sur la côte Est du pâturage. Elle est identifiable par son nombre particulièrement réduit, les redoutables Frimousse et Fluffy (2 individus), mais pour autant très impactante dans la vie des moutons.
La seconde, la famille dite "Empire" (à lire en anglais), se trouve en position dominante de l'élevage, et régit depuis plusieurs mois l'espace attribué aux mammifères. A son sommet, Bêleardo, véritable tyran Bovidé, qui a su maîtriser sa famille et le pâturage par la force et la terreur. Leur environnement se trouve néanmoins perturbé par la DownTown Famille.
La dernière famille est la DownTown Famille, dite la “DownTown” Famille. Elle reste dans l'ombre du paturage, issue de l'immigration du village voisin, et est le résultat des inégalités creusantes de l'élevage. Elle se démarque à la fois par son nombre mais aussi par la taille maigre des individus qui la composent.
Contrairement à ce que pense le héros, la DownTown Famille n'a pas peur des autres, elle est prête à lutter pour ses droits fondamentaux et ne va pas se laisser faire, regardant la Famille Empire d'un œil sournois.